Il n’y a que les imbéciles finis qui ne doutent jamais d’eux-mêmes. L’intelligence de ceux qui atteignent des sommets est trop souvent inversement proportionnelle à leurs succès, il n’y a qu’à penser à Trump presque réélu… Alors? On ne t’en demande pas autant que la présidence des États Unis, mais de croire en toi au moins un peu? Du moins au moins autant que certains qui se permettent critiques et commentaires plus ou moins subtils, pseudo-philosophico-psychologiques en métaphores grotesques truffées de fautes? Parce qu’avec TON talent pour l’écriture, même une transcription adaptée par toi d’une recette de Ricardo deviendrait une oeuvre digne de mention. Faque écris donc ce que tu veux comme tu veux et surtout fais-toi confiance comme à n’importe qui (Duras l’a dit). ;)
Merci pour ce texte. Ton perfectionnisme rend la tâche facile pour le lecteur de tes textes. C'est facilement compréhensible et on est facilement transporté. Le perfectionnisme est très relatif d'une personne à l'autre. Les critères de performance étant ce qui le différencie. Les critères sont mis en fonction d'un passé, d'un vécu qui nous fait dire que nous pouvons y arriver mais aussi d'un objectif de résultat que nous souhaitons atteindre, que nous l'ayons vu ailleurs ou juste dans notre tête. Ce qui tue c'est l'idéalisation. Ça prend beaucoup de pratique afin de passer du côté où nous acceptons le processus d'apprentissage, donc d'être "poche" à certains moments. C'est un processus ayant une foule de petits deuils à faire. L'ayant eu facile avant l'université, c'est TRÈS normal que ton cerveau s'attende à continuer de la même façon. C'est "tough" de se voir moins bon/bonne que ce que l'on s'imaginait ou/et de dépenser toute notre énergie dans des tâches juste pour le résultat parfait plus que pour sa fonctionnalité et d'acception son évolution dans le temps. Pour terminer je te dirais, pratique-toi à faire des choses moins bonnes que ce que tu es capable de faire (sans incidence sur ton travail bien entendu) et apprend à te satisfaire de ce niveau, de façon graduelle. C'est plus complexe que ça en réalité mais ceci peut te donner une piste pour faire accepter à ton cerveau que tout n'a pas besoin d'être parfait pour "faire la job" et mettre l'énergie de ton perfectionnisme où ça compte vraiment. Est-ce que ça fait du sens pour toi?
Ce perfectionnisme dégueulasse, c'est bien dit! Je me suis énormément reconnu dans tes propos, ma première année à l'Université de Montréal n'a pas été facile. Mais orgueilleuse que je suis, j'ai tout de même terminé mon bacc en sciences. Aujourd'hui je souffre encore de ce perfectionnisme qui s'est transposé dans mon rôle de mère et d'artiste. On s'en sauve pas mais j'apprends à lâcher prise en vieillissant, à faire confiance à la vie.
Je crois que votre souffrance viens de l’armoirie de votre nom famillial. Etant moi meme Gagnon, ils est difficile de se voir perdant. Ce gage-nom est comme un gag non?
Alors vous avez mentionnés prendre tout les trucs et j’oserai me prononcer,malgré que je ne sois ni reel professionnel, ni l’ireel prof passionel. Je m’amuse de ma plume comme si ma muse etait une enclume. Sceller dans le ciel de par ma personalité de zèlé ailé, a la lecture de votre ecriture plusieurs pairs de son me sont parvenue.
Permettez-moi humblement de vous les partager
- l’artiste qui sculpte n’est point son propre modele, autre que l’autoportrait fait en minorité les peintures en majorité decrivent l’exterieur de l’artiste. Ont reconnais son interieur par le raffinement de ses choix de coup de pinceaux, par les ambiguités de ses mots, par l’ambition de sa vision. Rarement part le message direct de sa propre vie personnel
-moi ma maladie, c’est le baladi! C’est dit a la camaraderie pour faire pencher les verbe en volubile varieté de voix valorisé. Les mots en gros sont bon et beaux, encore plus lorsque comme vous bijoux et robes de soirées ils sont biens agencées.
-Comment aspiré a respiré la perfection? Quand chaque de vos opuscules se bouscules d’une maladie a l’autre? De la phobie du menage a la phobie de la perfection, des routinieres obsessions au nocturnes possession, de peter pan a la flute de pan, tout ceci est simplement vous dans votre imperfection, car jamais nous n’atteignons la dite perfection. Elle comme le bonheurs sont un chemin sans fin de devotions. Alors devoué vous et instruisez nous d’autre que de vos maledictions puisque vous faite preuve de si magnifique diction. 🌹🌹🌹
Tout ca en résumé, pour vous dire de facons mesuré: ecrivez pour vous plus que de vous. Je serais captiver de voir l’art derriere le bazar✌️☺️👍
Oldest daughter syndrom 🤝 nous
Il n’y a que les imbéciles finis qui ne doutent jamais d’eux-mêmes. L’intelligence de ceux qui atteignent des sommets est trop souvent inversement proportionnelle à leurs succès, il n’y a qu’à penser à Trump presque réélu… Alors? On ne t’en demande pas autant que la présidence des États Unis, mais de croire en toi au moins un peu? Du moins au moins autant que certains qui se permettent critiques et commentaires plus ou moins subtils, pseudo-philosophico-psychologiques en métaphores grotesques truffées de fautes? Parce qu’avec TON talent pour l’écriture, même une transcription adaptée par toi d’une recette de Ricardo deviendrait une oeuvre digne de mention. Faque écris donc ce que tu veux comme tu veux et surtout fais-toi confiance comme à n’importe qui (Duras l’a dit). ;)
Encore un superbe texte, merci Ariane :) Ça m'a fait penser à celui-ci, que j'ai écrit avec *pratiquement* le même titre hihi : https://mariepierdeschenes.substack.com/p/le-syndrome-de-la-bonne-eleve
OH voyons donc !! On est vraiment connectées !
Merci pour ce texte. Ton perfectionnisme rend la tâche facile pour le lecteur de tes textes. C'est facilement compréhensible et on est facilement transporté. Le perfectionnisme est très relatif d'une personne à l'autre. Les critères de performance étant ce qui le différencie. Les critères sont mis en fonction d'un passé, d'un vécu qui nous fait dire que nous pouvons y arriver mais aussi d'un objectif de résultat que nous souhaitons atteindre, que nous l'ayons vu ailleurs ou juste dans notre tête. Ce qui tue c'est l'idéalisation. Ça prend beaucoup de pratique afin de passer du côté où nous acceptons le processus d'apprentissage, donc d'être "poche" à certains moments. C'est un processus ayant une foule de petits deuils à faire. L'ayant eu facile avant l'université, c'est TRÈS normal que ton cerveau s'attende à continuer de la même façon. C'est "tough" de se voir moins bon/bonne que ce que l'on s'imaginait ou/et de dépenser toute notre énergie dans des tâches juste pour le résultat parfait plus que pour sa fonctionnalité et d'acception son évolution dans le temps. Pour terminer je te dirais, pratique-toi à faire des choses moins bonnes que ce que tu es capable de faire (sans incidence sur ton travail bien entendu) et apprend à te satisfaire de ce niveau, de façon graduelle. C'est plus complexe que ça en réalité mais ceci peut te donner une piste pour faire accepter à ton cerveau que tout n'a pas besoin d'être parfait pour "faire la job" et mettre l'énergie de ton perfectionnisme où ça compte vraiment. Est-ce que ça fait du sens pour toi?
Ce perfectionnisme dégueulasse, c'est bien dit! Je me suis énormément reconnu dans tes propos, ma première année à l'Université de Montréal n'a pas été facile. Mais orgueilleuse que je suis, j'ai tout de même terminé mon bacc en sciences. Aujourd'hui je souffre encore de ce perfectionnisme qui s'est transposé dans mon rôle de mère et d'artiste. On s'en sauve pas mais j'apprends à lâcher prise en vieillissant, à faire confiance à la vie.
Je crois que votre souffrance viens de l’armoirie de votre nom famillial. Etant moi meme Gagnon, ils est difficile de se voir perdant. Ce gage-nom est comme un gag non?
Alors vous avez mentionnés prendre tout les trucs et j’oserai me prononcer,malgré que je ne sois ni reel professionnel, ni l’ireel prof passionel. Je m’amuse de ma plume comme si ma muse etait une enclume. Sceller dans le ciel de par ma personalité de zèlé ailé, a la lecture de votre ecriture plusieurs pairs de son me sont parvenue.
Permettez-moi humblement de vous les partager
- l’artiste qui sculpte n’est point son propre modele, autre que l’autoportrait fait en minorité les peintures en majorité decrivent l’exterieur de l’artiste. Ont reconnais son interieur par le raffinement de ses choix de coup de pinceaux, par les ambiguités de ses mots, par l’ambition de sa vision. Rarement part le message direct de sa propre vie personnel
-moi ma maladie, c’est le baladi! C’est dit a la camaraderie pour faire pencher les verbe en volubile varieté de voix valorisé. Les mots en gros sont bon et beaux, encore plus lorsque comme vous bijoux et robes de soirées ils sont biens agencées.
-Comment aspiré a respiré la perfection? Quand chaque de vos opuscules se bouscules d’une maladie a l’autre? De la phobie du menage a la phobie de la perfection, des routinieres obsessions au nocturnes possession, de peter pan a la flute de pan, tout ceci est simplement vous dans votre imperfection, car jamais nous n’atteignons la dite perfection. Elle comme le bonheurs sont un chemin sans fin de devotions. Alors devoué vous et instruisez nous d’autre que de vos maledictions puisque vous faite preuve de si magnifique diction. 🌹🌹🌹
Tout ca en résumé, pour vous dire de facons mesuré: ecrivez pour vous plus que de vous. Je serais captiver de voir l’art derriere le bazar✌️☺️👍